Bleu Nuit Hôtel.
Presque le Million Dollars Hôtel de Wenders…
Bleu Nuit Hôtel.
Un Film noir au Théâtre…
Un conte moderne inspiré du cinéma, de Jarmush et son Stranger Than Paradise, du Reservoir Dogs de Tarantino, de Bonnie & Clyde d’Arthur Penn, de Ridley Scott et son Blade Runner, de No Country for Old Man des frères Cohen, de Malick Kurosawa, Melville.
Bleu Nuit Hôtel.
Du théâtre esthétique, mais du théâtre d’histoire. Une histoire visuellement puissante, comme dans le Paris de Texas de Wim Wenders.
Alice, Thomas, Elvire Leo, Phil, et une télévision. Une ville sans nom, un casse, une fuite, une rue, un Hôtel… Thomas, l’intendant du Bleu Nuit Hôtel, un rêveur presque autiste, Leo, un pianiste concertiste, un Glenn Gould autant amoureux de Bach que de la bouteille et des jeux, Elvire, une femme A bout de souffle, une mère étouffé et en fuite.
Elvire Thomas et Léo se planquent au Bleu Nuit Hôtel, petit établissement sans charme. Une enseigne où on passe mais ne revient pas. Chacun à sa façon, ne supporte plus la violence du monde. La cruauté des rapports humains.
Alors derrière les murs anonymes du Bleu Nuit Hôtel, ils ont pensé se protéger du monde et de sa cruauté. Mais Dans la chaleur de la nuit, le monde va revenir et les faire trembler. Alice serveuse dans une boite de nuit cabaret mal famée débarque. Elle aussi fuit son monde, une bande de gangsters sans vergogne, une Horde sauvage. Mais son monde à elle lui court après. Les heures lui sont comptées. Elle est sur les sentiers de la perdition.
En trouvant refuge au Bleu Nuit Hôtel en ce début de nuit d’été orageuse. Elle croit pouvoir y trouver un deuxième souffle… Mais la trêve sera brève, et dans son sillage, elle va entraîner avec elle Thomas Léo et Elvire.
Le Bleu Nuit Hôtel commence là,
au coucher du soleil…
Il finira au petit matin.
Une histoire
Une nuit.